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се pr6cis, је vous supplie de те le faire savoir Tout vous

de coeur et d'ame N. N.

Р. S. J'avais presque oubli6 de vous informer qu'en ren-

trant hier chez moi j'ai trouv6 ип billet de m-r Pitt, раг le-

quel il те prie de passer ohez lui aujourd'hui 1. heure

aprbs. midi.

п.

Margate, lundi се 4 f6vrier 1805, dix heures du matin.

BiBB de8 remereimuts, lB oomte, la lettre que је

viens de wcevoir de vous ое шамп et les obyrvations de m-r

Bontham доив le пот d6 m-r dE Mont qui l'aocompagnaienL

Је n'ai еи le tems de parcourir qu'une trbs-petib partie de

observations; mais par le реи que j'ai lu, је puis vous agurer

que је те ferai ипр Пе de те d6kndre et de combattre le

systbme de m-r Bentham, et сотте је suis bien loin de

tendre que је пе saurais те &omper, је serai bien aise de le

rendre public et de soumettre аи jugement de tou les

consultes qui de nous deux а raison. Је пе d6fends nullement

la traduction anglaise, qui пе contient quo le допадъ de la

commission: le plan п'у est point. Cette traduction est ип

hors-d'oeuvre qui n'appartient pas la chose; le соть

Munster qui а еи la complaisance de т'еп faire la surprise;

il est impossible d'exiger qu'un 6tranger puisse s'en acquitter

aussi bien qu'un homme du pays. Hai8 п'еп parlons plus

pr6sent; vous recevre•z de moi dans quelque tems d'ici ипе

justification complbte. Votre lettre поив а apport6 du bonheur:

le vent а chang6 aujourdTui, il est аи sud-ouest, et nous allons

nous embarquer dans ипе heure d'ici. C'est la, „Chifonne“, сот-

mand6e par le сар. Adam, qui va nous conduire Mastrand.

Је пе trop те louer de toutes les bont± que l'amiral