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«еп m61er. Alors il те pria de пив lt communiqt16T
И reMtro аи ministbre angkis. Јв lui ai dit que је la dnerai
m-r Jackson, qui еп fera l'usage qu'il voudra. •Је vous dois,
E-r le comte, шае longue rbponse justificative, mais је n'ai'
pas ри trouver encore 1е moment de т'еп acquitter. M-r
ЈаоКвоп rendra compte, j'espbre, de la manibre franche dont је
те suis comport6 lui et de toutes les communicatiots
que је lui ai faites. Је пе doute рад qu'il у aura епсоит bien
des ocoasions qui prouveront que quand nous traiterons •de
nngleterre, eela пе sera jamais autrement que pour son
avantage. Veuillez bien, m-r le comte, etc.
N. Novossntsov.
Приемпю кь яисьиу 17•uy.
Tr±tian.
da rapport S. И. 1. du jBiH (10 juillBt)
de Berlin.
те r&ervant do еп son tems Ч. И. 1. ап ra#port
d6tai116 da bBt се qui s'Bt —6 dans сев wnf6renoes, j'aurai
maintgnant, vu la bribtetd du tems, le bonheur de lai pr'enter
les seules conclusions qu'on peut tirgr avec fondement, tant
des paroles de S. М. que de celles du baron de Hardenberg.
Elles consistent, selon топ opinion, prises dans leur sens le
plus 6tendu, еп се qui suit:
1) Qu'on пе peut еп аиоипе fapn compter sur la coop6ration
volontaire de s. т. prussienne la d6livrance de l'Europe.
2) Дие sans ипе puissante impulsion elle пе sortira pas du
cercle circonscrit dans lequel elle а enferm6 ses devoirs, de
пе prendre de part active dans les afaires politiques que celle
qui se borne la seule ddfense de la раме septentHonale de
l'Allemagne.