homme еп Russie qui m'entendrait. ll у еп а encore
ип еп Angleterre.
8.
Кь неиу ме.
Monrepos, се 20 aoat 1796.
D•aprbs les assurances positives que notre digne ami
m'avait donn6es l'hyver pass6 d'avoir mis ип ordre
formel ses afaires, је crus, lorsque j'appris рат
m-r de. Protassow qu'il пе s'en 6tait rien trouv6 dans
ses papiers, qu'il aurait peuutre d6pos6 chez quel-
que tiers ои chez quelque notaire cet acte, qui,
devant contenir des minuties dont le d6funt n'aurait
pas voulu vous ennuyer, пе serait, peut-6tre, pas
тёте parvenu votre connaissance. J'ai suppose;_
чие si quelqu'un peut еп avoir notice, се doit s0re-
ment etre m-r Pestel, le directeur des postes, dont
Lafermibre 6tait fort ami et qu'il regardait сотте ип
homme entendu dans ces sortes d'afaires. Sur l'avis
donc de m-r de Protassow j'ai 6crit Pestel роит lui
demander s'il пе savait rien d'une espbce de testament
de notre ami, et аи cas qu'il еп eat connaissance. је
l'ai prib de faire parvenir ои l'original ои ипе copie
authentique votre excellence. Par се que vous venez
•de те dire, m-r le comte, il ратай que cette. d6mar-
che aura 6t6 superflue, et que се que vous avez bien
voulu coucher par 6crit des dispositions (lu d6funt sera
la senle pibce laquelle nous ayons nous еп tenir.
Је• ип реп sttrpris, la v6rite, qu'aprbs l'ami-
ti6 intime et tendre qui subsistait entre le dbfunt et
ипе de ses couines, т-те Gerv6, qui avait реи de
fortnne et plusieurs enfants, il пе se soit auunemeut