lice, que l'on vit cette secte lever la t@t.e, reparaitre et

jouer ип gpand rOle dans les 61ections. Les p-ces Тру-

Лопухинъ, Ключаревъ, le р-се Gaga.rine, Куту—

Вовь et des cent.a.ines d'autres tinrent des conciliabules

oil .ils s'occupbrent pr6alablement des atraires tr«k-im-

portantes. lls que l'amiral Мордвиновъ. leur

ancien соПёдие. serait поттё chef la milice du

gouvernem. de Moscou« et il le fut d'une mani&re scanda—

leuse et inddcente. й. [а grande surprise de tout le

monde; car sans vouloir rien 0ter аи m6rite de m-r

Мордвиновъ, il п'а jamais seryi dans rarm6e et п'аи-

rait. formek аисип soldat- par cons6q.uent tout autre

militaire (et il у еп avait tant) lui aurait 6t6 pr6f6-

rable dans ипе circonstance critique, ой il fallait еп

тёте tems enrdler, exercer et envoyer l'arm6e

des paysans pour ddfendre le pa.ys. Les martinistes,

поп contents de cela, 6rent courir des bruits fdcheux,

vendirent la poste ип livre. mystique: Тоска 066 ота-

ЧИЗНПЈ, et s'oublid»rent.au point qu•ils fn•ent germer quel-

ques id6es sur la nbcessit6 • de changer la forme de

gouvernement et sur les droits de la nation de se don-

пет ип autre maitre. La police, trop оссирёе, surveilla

реи leurs d6rnarches, et laissa tomber.les $onpgons sans

avoir . rechercher les auteurs de ces bruits s6di-

tieux.

Les martinistes, voyant qu'on пе voulait ои qu'on

craignait de les .inqui6ter, se rallibrent bien vite. Ту-

толминъ, quoiqu'tll) homme d'esprit, 6tait trop faible

et coquin pour entreprendre quelque chose; il craignait

роит lui et пе se fh.isait craindre de pers_onne. Le m-l

Goudowitch est trop vieux, trop imb6cile et trop mal

conseill6 роит se p6n6trer de la n6cessit6 urgonte de

s6vic contre ипе soci6t6 dont le mystbre seul suflt