а surtout арриуб sur la beauu de нов dents.en те de-
mandant, si elles bien conservbes. Је lui ai dis oui.
Је пе pui8 rendre У. е. l'excbs de la surprise que
j'ai 6prouv6e еп lisant l'article de sa dernibre lettre
0iL elle те raconte l'horrible et dangereuse extrava-
дапсе qu'a commise m-r R. *) Comment ипе folie aussi
condamnable que pernicieuse a-t—elle ри s'emparer
d'une tate qui avait paru ju“u'ici bien organiseiet
MBis- ее qui, sans m'avoir surpris, п'а ри qu'a.jouter
аих profonds sentiments d'admiration dont је suis рё-
n6tt•6 роит l'Imp6ratrice: c'est la magnanimit6 avec
laquelle cette grande Souveraine а daign6 traiter се
eoupable. Еп bornant. peine ипе eorrection vra.i-
ment maternelle, elle doit s'@tre acquise ип nouveau
titre аи d6vouement de la nation qu'elle gouverne
avec tant de douceur et ипе sagesse si rare et si рто-
fonde. Је пе suis раз moins frapp6 de la noble дёпб-
et grandeur d'ame d'un ministre d'6tat, qui
daigne епеше 8'int6resser аи sort d'un homme' qui
s'esb Bi cruellement oubli6, еп le consolant раг ses
lettres et lui fournissant des livres propres rec,tifter
le d6gordre de ses pensbes et le ramener par de bon-
пев lectures des id6es saines et justes. Ces moyens
uussi sages que doux sont certainemert les plus prop-
res ramener la raison ип esprit ёды•ё dont le
coeur n'est par perverti, et conserver la socibtt; ип
malheureux qui peut encore lui deyenir utile, еп fai-
sant de s6rieuses rbflexions sur l'6normit6 de sa faute
et traveillant la r6parer.
rise S М. 1. .et воп digne
*) Говоритса о Радищев±. П.
Cette anecdote qui ca.ract6-
miniBtre m6rite ипе теп-
Б.