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Londreg, се 10 octobre 1809.

Tout се que vous те dites sur cette inf&me paix de

l'Autriche n'est malheureusement que trop juste et

trop vrai.

Il m'est arriv6 avant-hyer ип e,ouprier de Palerme:

је vous avais 6crit que је comptais de т'еп aller•

Brighton aujonrd'huy, је п'у vais рад, је пе seais pas

quand et si jamais plus је pourrai у анет. Ecoutez се

qui arrive та cour, et се qui arrive ll 6tait

d0 та conr ип trbs-gros arri6r6 pour •)es subsides:

еп outre, та cour avait fait de telles angmentations

dans, ses forces qu'il 6tAit impossible d'y fa.ire •faee

avec le subside ordinaire. Оп m'ofh•it de. •renoncer

lTrri6r6, et de те donner' роит denx objets cent

mille livres sterling• pas• ап de plus. J'aceeptai, ип

traitb fTt fait iei рае le ministbre anglais; оа voulait

у fourrer ип article par lequel roy se iiait

еп cas d'exp6dition contre l'ennemi •еоттип hors de

la Sicile, ses troupes sous le commandement dn дёпё-

ral anglais. Је m'opposai fortement' cet article, et

је dis que le roy l'aurait fait toujours de' plein grd

sans у etre 0blig6 par traitd, tontefois qu'il f0t соп-

tent (lu gbnbral anglais: је dis que k,'aurait ипе

indignit(5 de la pact de топ тайте de fiire cela роит

de. l'argent, et је d6clarai nettement que s'ils s'obsti-

naient cet article, j'aurais pr6fer6 de пе. pas avoir

d'augmentation, et тёте а.исип snbside, сат је п•аи-

rais pas vendu l'honneur de топ rnaitrp. Оп c6da