calme, d'une s6r6nit6. d'une assiduit{ аи travail diRi-
cile ima.giner.•Je lui fais. souvent та соиг.
La vie чие је тёпе ici„ est tNs-fatiguante. Peut-etre
et sans doute, elle le sera moins quand •les sOuverainS
alli6s seront partis.
Рши•о т'п (lit, qu'lt»rtial еп toujours еотте
le plus gfand Nvolutionnaire.
76,
Londres, те 24 f6vrier 1816.
Је n'avais pas du tout fait la remarqne t.reg.japte' qup
vous те faites relativemont аих questions de lord Hol-
land sur la possession d'Espagne, et vous m'avez mis
sur le chemin lbdessus.
J'ai теси hyer ипе d6p@che du duc de Richelieu par
laquelle il т'аппопсе que le гоу de France т'а пот-
тб pour la d6cision de la question de la dette de la
Hollande que le roy des Pays-Bas r6clame. la charge
de la France. Les puissances alli6es, роит fmir et пе
point dif6rer la signature du trait6 de paix dernier,
par ипе convention чие cette afaire serait
d6cid6e рат ипе commission de sept personnes, (leux
Franyais, deux sujets du roy des Pays-Bas, ип la по-
mination du roy de France, sujet d'une puissance in-
d6pendante, ип autre de la тёте cathbgorie потте;
раг le гоу des Pays-Bas, et ип septibme a.ussi sujet
Типе puissance ind6pendante поттё рат les (leux
derniers. Le тоу des Pays-Bas а поттб le ge;n6ral de
Walterstof, ministre de Danemark Paris, et la рте-