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Paris, се б septembre 1815.

Је те dbciderai passer еп Angleterre aprbs les

r6ponses et les ordres de та соиг. Tant qne les sou-

verains et leurs .principaux .ministres sont ici,.je

puis traiter ici les aRiLit•es . que поид avons avec los

deux cours, mais quand. ils seront partis, је puis avoir

des qui •m'6bligeronb de retournec еп Angle-

terro. L'Empereur Alexandre т'а, ,fait dire qu'il те

donnora andience son retonr de Vertu. роит ой il est

parti.• се matin.

.yai еи oujourd'hny ппе audience du prinee h6r6di-

taire d'Antriche, et il а caus6 qnelque •t,ems внес moi

avec 'beaucoup de bon sens .et de raison. ' Il рати

fort int6ressant, et Н т'а par16 avec beanco•up (Ганьс-

tion роит le roy доп grand-pbre. J'avais de ее. prince

ипе toube autre id6e. ll у а aussi ici l'archiduc Louis,

frbre. de l'empereur, et rarchiduc Ferdinand d'Este.

Ils sont venus ces trois archiducs ces .derniers jours

Paris, et ils augment,ent la besogne des conrs; Је puis

vous assurer 'чие La Fleur et Casimir sont tis-bien

ensemble. ef le premier nfa dit qu'il 6tait trbs-conteut

du sec6nd.

La police vient de se. saisir de rouvrage que је vous

envoie ei-joint.

Les n6gociations trainent. Les alli6s doivent encore

se mettre d'accord entre еих sur les d6tails.

Pour les affaires d'ici Dieu sgait се qu'il еп sera:

c'est ип vrai cahos et confusion. Le roy est (Типе