qu'il est, пе peut рад топ avis durer, s'il.y а pour-

tant аисип raisonnement solide former. d'avance sur

•la marche des choses et des •afaires de cette mobile

et plus que l6gbre nation.

126.

Paris, се 4 janvier 1819.

Је suis encore tout 6tourdi du r6sultat бие les divi-

sions ministerielles опу еи. Је connais fort реи les

nouveaux membres du ministbre, et ils те paraissent

n'@tre фие роит ип seul. Tout ceci n'est u•iv6 que

рат les gaucheries du duc de Richelieu. S'il avait agi

et• form6 le nouveau minist&re quand le roy l'en avait

charg6 avec plus de promptitude et d'activit6, tout ceci

пе serait point arriv6. Аи reste, quant аих mesures

que l'on suit ici depuis longtemps le mal est dans la

racine. Cette nation пе peut pas 6tre gouvern6e avec

ипе constitution ranglaise, c'est-bdire avec deux

chambres qui se r6unissent роит d6lib6rer toutes les

ann6es. C'est ia grande faute des puissances alli6es

qui l'ont ainsi voulu ici, tandis que trois d'entre elles

n'ont point de constitution dans leurs 6tats.

R6unissez-moi quatre cinq. cents personnes toutes

les ann6es pendant plusieurs mois еп France, et elles

пе manqueront pas de d6sorganiser et de saper les

fondemens de la monarchie. Les malveillans, les r6vo-

lutionnaires, les r6publicains, et les buonapartistes у

abondent, et ils se servent de la charte сотте d'on

chemin couvert роит parvenir leurs fns abominables.