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роит bridei• les atrocit6s des Frangais, et sachant

notre grande satisfaction чие nos deux allids sont рат-

fhitement d'accord avec nous sur cette manibre de реп-

ser, nous aVons r6solu acc6der aussit0t que le

gouvernement actuel еп France, soit рат son obstina-

tion• ne'•pas ex6euter le trait6 de paix conclu avec

l7Empereur, soit• еш insistant d'6tbndre ses possessions

тёте du c0t6 droit du Rhin, soit •par des entreprises

nou«elles s'emparer de la partie restante de l'italie

оа des autres pays et isles de la M6dit6rran6e. аита

forcd l'Empereur rompre sa paix avec lui; еп соп-

s6quetre.e de quoi nous avons rbsolu nous expliquer

amicatement avec le roi de Prusse sur des raisons

qni nous ' porlaient faire cause соттипе avec nos

alli6s, n'dyant aucunement роит hut notre propre avan-

tage. mais le r6tablissement solide de la tranquillit6,

sor des stipulations sages et convenables; et qu'en

eommenqant la guerre рат рите n6cessit6, et еп la

continuant aVec. des• intentions nussi droites. nous at-

tendons de ramitib, et de bonne, foi du roi de Pcus-

se.' qu'en conservant sa neutralit6, .il n'6contera аис.и-

пе des insinuations d'un ennemi aussi dange-

reux рби\• toutes les puissances, et qu'il conservera

ilit\icte Ги partie septentrionale de. l'Allemagne, еп ечп-

peehant les •Franqais de rompre la ligne (llte sa та-

.iestb а dt;.ja marqu6e сотте 6tant neutre. et qui de

тёте пе sera pas enfreinte рат les alli6s. Sa r6pqn-

se sur notre .explipa.tion nous d6couvrira da.vantage

combien оп doit compter аи moins sur son ilnpartia-

lit,6 et snr sa position passive, dans lesqnelles nous

hiclzegons de le maintenir рат t,outes les assurances

conformes l'amitib. et l'alliance qui subsistent, entre

.nops. Еп attendant, not1S avons r6solu еп premier lieu,