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Pawlowsky. Il fait son possible se borner son
d6partement et parle тёте assez ouvertement
pr6sent de son intention Кхе se retirer dans ипе ап-
пбе; mais il пе pourra pas. Еп &ttendant, les afaires
d'administration int6rieure sont presque entibrement
entre les mains du procureur-g6n6ral, qui, pendant que
notre Maft.re est presque totalement concentr6 dans
ses arrangements militaires, а l'air de se consid6rer
сотте ипе espbce de eo-r6gent• 1). Notre ami 2) пе s'y
oppose pas, son temp6rament, ses vues et la sagesse de
son esprit, t.out le тЬпе se tenir tranquille, et il
lui donne pleine longueur de la corde. Бе vice•chan-
celier з) est plus nul que jamais; mais bon homme, tout
autre que son frbre qui [е malheur d'dtre assez дё-
ndralement hai. Rostopschine est assez bien еп cour;
mais, сотте tout militaire, пе sachant si le soleil luira
demain сотте aujourd'hui. Il а ипе bien mauvaise
santd: des fibvres bilieuses rarement quitte, qui proba-
blement doivent leur origine la tracasserie fatiguante
dans laquelle il est continuellement tenu.
Le c-te Cobenzl est parti. Le јеипе Diedrichstein
reste dans sa place, mais sans titre; depuis son та-
riage il est tomb6 plat. 1l s'est conduit сотте ип јеипе
homme faible, montrant de l'humeur, parce чие les
nouveaux Prussiens ont 6t6 bien vus рат l'Enwereur,
faisant des pr6tentions et employant les femmes de
toute description pour avoir la continuation des аррат-
tements Pawlowsky et P6terhot
distinction qui lui
avait (5t6 accordbe seulement cause du mariage чие
notre Souverain se faisait plaisir b&cler. Avec tout
1) Князь Лону.хин•ь.
2) 'Г..е. кня:њ Безбородко.
3) Князь Александрь Борисовичъ Куракинъ.