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Кь графу Александру Романовичу.
Monsieur le comte.
Је пе реих pas laisser pactir m-r Lwow sans vous
6crire deux mots. J'avais promis m-r votre frbre de
le faire aussitdt que је serais arriv6 ici. C'est la pre-
mibre bonne occasion que је trouve, ayant (5t6
pr6sent сопйпё la maison par les suites de l'acci-
dent qui m'est arriv6 еп chemin; еп outre, је те suis
flatt6 toujours de ponvoir former ип jugement plus
juste sur l'6tat des choses ici еп autant qu'elles pour-
raient influer ои afecter le sort et situation de се-
lui qui est si cher vous et moi. Autant que је
puisse voir, il п'у а аисип sujet d'inqui6tude son
6gard. J'ai repu ипе lettre aujourd'hui de notre ami,
m-r Bonar, de 5 novembre, qui те marque qu'il est
bien, quoique naturellement trbs-m6content des 6vbne-
ments еп Hollande et еп Suisse. 1l se rassurera avec
le tems. Mais се qui seul m'iaquibte par rapport de
lui, est le fardeau de c,orps d'arm6e russe actuelle-
ment еп Angleterre, qui sera sous ses ordres pendant
l'hyver. Је те rassure pourtant, саг il connait assez
bien les deux nations роит 6viter• toutt8 les pierres
d'a.choppentent.-
Је dois vous parler, monsieur le comte, de votre
пеуеи et de votre nibce Londres: cet le principal
but de cette letire. Michel (que vous savu d'@tre ип
charmant јеипе homme qui promet de faire la plus
belle carribre) doit venir ici l'6t6 prochain; j'avais for•
tement арриуё„ тёте еп grande part!e sugg6r6, cetb9