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Се 25 d'octobre У. st. 1798.

Peut-6tre vous savez ои pet1t-6t,re vous пе savez рад,

monsieur le comte, toute la r6ussite de votre recom-

mandation du јеипе Alexis Greig. Је l'ai d'abord pr6-

sent6 аи vice-chancelier et аи comte Zoubow qui l'ont

reeu trbs-bien, surtout le dernier, qui а 6t6 6lectrij6,

је crois, par la manibre que vous lui avez par16 de

feu l'amiral; car il а mis beaucoup d'activit6 arran-

ger tout се qui d6pendait de lui, et quand tout а 6t6

fni, il l'a pr6sent6 Sa Majest6 qui l'a теси trbs-gra-

cieusement. Il avait d6jiL reeu ses lettres et devait par-

tir еп deux jours, quand sa mbre tombait malade d'une

afection 16thargique, dont elle mourut еп quelques

jours. Seul chef apparent de sa fa.mille, il 6tait 0blig6

de rester ici роит attendre des lettres et des pleins-

pouvoirs de chev. Dick et Ь. Rulherford qu'on croyait

d'6tre ex6cuteurs d'un testament que feu l'amiral avait

fait еп 1778. Aprbs ипе longue attente ces messieurs

опь r6pondu qu'ils n'6taient pas munis d'aucune auto-

rit6 agir qu'en cas que la veuve serait entr6e еп

secondes noces; mais qu'il п'у avait аисипе provision

faite par le testament dans le cas qu'elle mourrait

sans se remarier. Quand cette r6ponse 6tait arriv6e,

il 6tait presque pret partir ипе seconde fois, car

j'6tais impatient qu'il perdait tant de tems ici. Аи lieu

donp nous adresser аи Сиротска Суда, је l'ai fait

6crire ипе lettre Sa Majest6, la priant de donner

cette famille des curateurs et sugg6rant m-r de Рои-