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avait g•los6 de not,re. trop ldg&rement sur l'afTaire

de ,ibrrfe' сопечсп пн. Celle-ci le roi avait accord6, et

de notre s•eitait entendu чие la reine deyait assis-

ter dans l'6glise luth6rienne dans toutes les grandes

c.6r6monies nationales. Оп avait pos6 cela сотте abso-

lument n6cessaire. А six heures du soir arxive m-r

Marcow avec ип papier роит le roi signer: c'6tait

ип acte ой 6tait expliqu6 tout се qui concerne la li-

bert6 de c6l6bration de culte de reine future, de sa

chapelle et son confesseur. Le јеипе prince se gendar-

те et refuse de signer. Trois fois m-r de Marcow va et

vient dans la soir6e, mais il пе pent obtenir son consen-

tement. Vous pouvez juger comment la nuit а 6t6

pass6e.

Le lendemain, le 13, le roi et le r6gent viennent

chez l'Imp6ratrice; tous les deux ta.chent le mener

la raison, mais еп vain: il соттепсе parler son

oncle еп su6dois. Sa Majest6 les prie d'n,ller dans la

chambre e,ttenante et discuter la matibre lenr aise.

Ils у vont, et aprbs avoir rest6 ипе demi - heure et

ипе vive discussion, le r6gent sort trbs-6mu еп disant:

.,Voilh, Madame, ип јеипе homme qui va se perdre“.

(Vous deyez savoir que le rbgent а сопеи ипе belle

passion роит sa c,ousine, et dans toute cette afaire оп

а fort content de lui et de Reiterholm.) De ils

sont all6s chez le рёте. Се qui s'est pass6, је пе sais

рад. Un seul trait j•ai appris de bon part. Quand le

roi s'est excus6 par son obligation d'observer la loi

relative la religion d'une reine еп Subde, le n0tre

lui а r6pondu: :V7fts-rous раз (е ntait,re? Vous ранга

la changer. L'autre а r6pliquek: „Non, је пе реих pas

la changer: elle est fondamentale et сотте telle, је