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S-t P6tersbourg, се 12 (1828).

Моп bien cher ami, j'ai еи le plaisir de recevoir

vos deux lettres du 18 et 28 f6vrier, роит lesquelles

је vous remercie de tout coeur. Vos nouvelles те sont

d'autant plus n6cessaires dans се moment que j'ai уи

la sant6 de votre excellente femme et la v6tre partir

d'ici dans ип 6tat aussi faible que le temps 6tait froid

et d6sagr6able pour le voyage. Enfn, vous arriv6

bon part, et tout rentrera dans l'ordre de sant15 que

doit donner ип meilleur climat et la jouissance de se

retrouver avec ses enfants et dans ses v6ritables foyers.

Је suis enchant6 que vous avez retrouv6 tout сотте

vous l'aviez quitt6; c'est que vous пе vous 6tes pas

tromp6 sur le choix de votre remplacant et que Pahlen *),

outre les moyens, се qui paraft si ais6 et се que

nous trouvons si rarement chez nous, а les vrais prin-

cipes d'un gentilhomme. Sans cela (је пе le vois que

trop maintenant) l'esprit, le savoir-faire des plus hup-

p6s se brisent contre l'intrigue, la vanit6, la jalousie

qu'ils portent dans toutes leurs actions. Је suis ипе

fibre 6cole, cher апм!

Квязь Оедоръ Петровичъ Паленъ, пова князь Воронцовъ Тздпъ

въ АнгЈю въ отцу своему, исправил его дотность въ Одесс•Ь. П. Б