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S-t P(5tMBbourg, се 21 ddcenibre (1832).
Trbs cher ami, је suis ип coquin de paresseux; ainsi,
pour пе pas perdre cette r6putation, j'ai 6t6 longtemps
sans vous 6crire et ai тёте еи l'impolitesse de пе pas
vous r6pondre deux de vos lettres. La premi6re 6tait
ипе description charmante et pompeuse des am61iorations,
des progrbs gigantesques, que, тёте dans votre absence.
ont fait les vastes et belles provinces con66es vos soins.
L'impulsion 6tait donn6e, et il n'appartient qu'b vous,
cher ami, d'en accorder le m6rite votre doublure
qui п'а fait que continuer се que vous avez bas6 et
dessin6. Је n'ai раз ри m'emp6cher de montrer votre
lettre l'Empereur, auquel elle а fait ип grand plai-
sir. Оп dirait lire les contes des mille et ипе nuit.
Сотте tout се que vous d6crivez prouve bien la јеи-
nesse vigoureuse de notre pays, qui partout grandit et
s'enrichit per la moindre nourriture qu'une main ha-
bile et laborieuse lui pr6sente avec discernement!
J'ai 6t6 enchant6 de voir qne vous vous 6tes rapproch6
de l'excellent amiral Greig quej'aime et honore. Mais ici
оп lui impute bien des torts, et сотте dans tout
cela il у а des chifres et des faits, је пе puis (quoi-