179.

S-t P6tersbourg, се 13 octobre.

Моп bien cher et bon ami, j'ai reeu avec ип bien

grand plaisir votre lettre du 1-er de се mois et j'ai

le besoin de vous parler de та sant6, sachant сот-

bien votre amiti6 у prend part. Је vous dirai donc,

que је m'eforcais de те croire mieux qne је vous

l'ai 6crit, mais qu'au fond rien n'avait chang6; il у

avait ипе пиапсе d'am61ioration, et је la saisissais avec

avidit6, еппиуб de soufrir depuis З mois, et craignant

d'ennuyer les autres de mes plaintes. Enfn, voyant

que toute cette nombreuse facult6, et m-rs Spiss еп

particulier, 6tait аи bout de leur latin, j'ai pris, la те-

commandation du т-те de krtidner, son m6decin 0ws,

hom60pathe. Il est venu З fois те questionner, m'ob-

server, aprbs quoi il т'а donn6 deux petites poudres

еп те disant qu'il voulait seulement d6clarer la та-

ladie et produire du sang; il а si bien r6ussi que le

surlendemain, ј'еп ai perdu сотте ип boeuf qu'on

6gorge; cela т'а soulag6 spontanement; mal de t6te, tou-

tes mes incomodit6s m'ont quitt6, la gaiet6 m'est reve-

пие. Је vous ai dit tous ces d6tails, cher ami, car ј'еп

suis 6merveill6 et stup6fait; mais le fait est le bon

excellent Arendt еп est enchant6, mais Spiss et le re-