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Roustchzouk, се 24 mai (1811).
Је viens de recevoir, топ cher comte, votre lettre
du 2 mai par ип de votre. r6giment qui vient
chercher vos malades. Il те dit qu'il doit aller d'ici
Ismail; ainsi је пе vous 6crirai pas par lui et, faute
de mieux, suivrai la route que vous m'avez indiqu6e
pour correspondre avec vous. Il faut cependant qu'elle
пе soit раз aussi bonne que vous le croyez: car vous
те reprochez топ silence, et је vous assure que voici
la 7-те lettre que је vous adresse depuis notre s6pa-
ration. J'ignore се qu'elles sont devenues, le g6n6ral
Saban6ew пе m'ayant pas fait l'honneur de т'еп in-
struire; ј'ассотрадпе cependant chaque paquet que је
lui envoye pour vous d'une lettre que је tache de tour-
пег aussi poliment que је le puis. Је пе l&cherai pas
prise pourtant; peut-6tre qu'& force de politesse је le
rappellerai de топ existence. Vous те donnez, топ
bon ami, des commissions еп quantit6 pour Воиса-
rest; mais је п'у suis рад, п'у .ai pas 6t6 et п'у compte
pas aller; ј'еп avais еи le d6sir et crois vous l'avoir
аппопсб dans та dernibre lettre, mais j'ai chang6
d'avis et је пе bouge pas d'ici. Је pourrais cependant
m'acquitter de l'article pour Alexandrine; car, се
qu'on dit, son pbre doit arriver ici avec toute sa fa-
mille pour quelques jours, aprbs quoi la татап et les
enfants quittent се pays et abandonnent le рара son