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kraiova, се 21 septembre (1811).

J'ai regu, топ cher ami, votre dernibre lettre par

D6midow et m'empresse de vous еп remercier. Avant

tout il faut que је vous parle du porteur. Il т'а fait

de la peine; il а pleur6, et il т'а рати que c'6taient

des larmes de repentir et d'un bon coeur. П voit que

sa r6putation est perdue; је lui ai fait les petites obser-

vations couvenables. Il sent qu'il doit se distinguer pour

r6parer le pass6; mais il craint que vous пе l'expulsiez

de votre r6giment, et qu'alors il sera entibrement perdu.

Је l'ai assur6 que vous seriez le premier vous r6jouir

s'il vous foryait, par son zble роит le service et sur-

tout le courage qu'il d6ploierait sorement la pre-

mibre occasion, faire changer l'id6e d6favorable que

vous deviez avoir сопре de lui. Le r6sultat а 6t6 de

vous supplier de le garder dans votre r6giment, et

l'assurance qu'il r6parerait ses torts.

Је •suis ип реи mieux, топ cher, et espbre dans реи

de jours те transporter chez vous; j'attends се moment

avec impatience. Је suis depuis avant-hier log6 trbs

bien avec le colonel Sass; cela те desennuie ип

реи. Mavro т'а donn6 пп ouvrage philosophique

sur la r6volution de France, que је lis avec acharne-

ment. Је trouve cependant que Paul et Virginie est