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Петерб урн).

Подучено 8 Февраля 1812.

Моп bien cher ami, је suis arriv6 ici aprbs ип voyage

de 15 jours, fatigu6, malade, maussade. J'ai d6barqu6

сотте de raison chez l'ami Longuinow, foyer g6n6ral,

du quel tout part, et auquel tout revient. Mais aujourd'hui

је те transporte chex Branitsky qui а еи la complai-

sance de те faire pr6parer ип appartement. Је suis

faible et пе sort pas; је n'ai vu encore que les gran-

des puissances eL пе rne sent раз тёте l'envie de voir

le monde. L'Imp6ratrice т'а regu, оп пе peut pas mieux;

le ministre aussi, et dans се moment је viens de chez

le grand•duc qui а reyu avec infniment de contente-

ment топ d6sir de passer dans la cavalerie; il т'а

promis que j'aurai le choix du r6giment. J'ai vu l'exel-

lent comte S-t Priest qui а еи votre lettre; il vous est

bien attach6, et j'ai еи ип vrai plaisir l'entretenir.

Је d6sire m6riter son amiti6. Је n'ai pas rendu votre

lettre la princesse; elle est partiel Tout le monde,

cher ami, те demande de vos nouvelles, et c'est qui

fera le plus votre 610ge. Је пе vous dis pas grande

chose, car је suis triste et malade et ai ип mal

ип doigt de la main droite, tel que је пе grifone

qu'avec peine.