krarova, се 13 septembre (1811).
Је suis аи lit, топ cher ami. et soufrant beaucoup
de la poitrine et des nerfs, soufrant aussi d'6tre 6loi-
gn6 de vous dans le temps ой d'un jour l'autre vous
pouvez vous battre, et trbs mecontent de се que vous
пе m'avez pas encore 6crit ип mot. Dites moi се que
vous faites, comment va votre sant6, si оп compte
entreprendre quelque chose? Dites le moi: је viendrai
contre mes forces essayer de те teni? cheval. Је пе
puis vous dire combien је suis faible et vous avoue
тёше que si vous n'6tiez pas аи сатр, та sant6 еп
610ignerait toutes mes id6es. Је crains pour les suites
de та poitrine; mais dites moi que vous devez тат-
cher, et је viens chez vous. Le g6n6ral а 6t6 hier ici;
је suis fAch6 de n'avoir ри le voir. Је vous prie de lui
pr6senter mes hommages. Је suis si is016 ici que је
пе sais rien de се qui se fait.
А. Benckendorff.