Се ll octobre (1811).

Се n'est qu'hier, топ bien cher comte, que j'apprends

votre afaire et vos succbs! Је vous еп f6licite еп

d6plorant топ malheur de n'avoir pas еи la satisfac-

tion de те battre sous vos ordres. Је vous avoue

cependant que је n'ai pas cru l'attaque du• сатр

Титс et que, sij'avais le droit de donner топ avis, је

пе l'aurais раз conseill6; le succbs пе prouve pas

qu'on а еи raison de le faire. Еп пе le forgant pas

entibrement, les Turcs croyent avoir repouss6 1'attaque,

et c'est пп succbs pour еих que de n'6tre pas exter-

min6s. Је croyais que vous auriez l'ordre de vous bor-

пет inqui6ter le сатр ennemi et vous emparer

des chemins qui lui ambnent des provisions; le pacha

de Viddin п'еп donnant que tds реи, s'il пе le refuse

entibrement, coop6rerait forcer Ismael-beyde chercher

se retirer; mais il lui faut les moyens de se retirer

sans craindre ипе rencontre d6sastreuse pour son arm6e

qu'aprbs avoir laiss6 passer оп peut poursuivre et

dissoudre. Mais s'il est cern6, оп а craindre ип сот-

bat. П restera dans sa position jusqu'i la dernibre

extr6mit6, et le pacha de Viddin пе pourra gubre le

laisser mourir de faim; ои bien il tentera ипе attaque

avec toutes ses forces sur votre corps qui, n'6tant pas

consid6rable, pourrait lui ouvrir ип chemin, се qui

deviendrait ип avantage que la poursuite тёте qu'on