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Се 10 (1811).

Hier matin, топ cher• ami, ип homme du pays vient

те dire que les Turcs ont pris pied kalafat; j'ai

envoy6 chercher ипе boudka et те suis transport6

chez Sass, qui т'а appris qu'on s•6tait battu et que

l'ennemi avait оссирб kalafat et nous avait par cette

attaque forc6 de prendre ип autre сатр. Је пе puis

vous dire combien је suis d6sol6 de n'avoir pas partag6

cette journ6e avec mes hullans et avec vous, топ

cher ami. Ј'еп suis tout honteux; mais та sant6 пе

те l'aurait pas permis: il m'aurait 6t6 impossible de

те tenir cheval. Је suis trbs mal, et 0uspensky dit

que j'ai ипе fbvre continuelle cachbe, qui se d6clarera

trbs fortement. Је soufre surtout de la poitrine et

soufre d'autant plus que је suis loin de vous, de vos

nouvelles, et que је n'ai pas ри montrer топ zble

notre brave g6n6ral Sass, que j'est.ime davantage de

jour еп jour.

Que faites-voos? Les post,illons sur la route ont

quitt6 leurs postes, et j'ai fais dire qu'on m'envoye

mes chevaux; si possibilit6 il у aura, је viendrai

cheval.