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kraIowa, се 10 octobre (1811).

J'apprends, топ cher ami, que trois escadrons d'hul-

lans sont partis du сатр; ont dit que c'est avec le comte

0rourk, et је n'ai раз ип mot de vous. Si је pouvais,

j'irais еп chercher des nouvelles chez la g6n6rale Sass,

mais је suis dans les m6dicines jusque par-dessus les

oreilles; l'Italien qui est ici те fait 6vacuer que c'est

ипе b6n6diction. Dites moi donc ой vous 6tes, се que

vous faites, се que vous comptez faire? Је suis сотте

mille werstes de chez vous, је пе sais rien de rien.

Оп т'а mis ип r6gime terrible: ni th6, ni caf6, ni

еаи de vie; је т'у soumets, car је soufre. Је tousse

beaucoup, et cela те fatigue singulierbment. Је viens

de recevoir ипе lettre de Longuinow, је пе sais par

qui. Pauvre diable parait n'6tre раз encore gu6ri.

Dans ипе de mes lettres је lui demandais des nouvel-

les de nos belles de la capitale; il те r6pond qu'il

est hors du monde et qu'il п'а de communication qu'avec

la princesse, qui se f&che contre lui tort et qui lui

suppose des intentions sinistres qu'il пе conyoft рњд;

саг, dit-il, malgrbs son injustice, j'ai encore de l'amiti6

pour elle.