з.
Полч.• 29 ДеваОра lB2t 2.
J'ai reyu il у а реи de jour la lettre charmante que
Роив• m'utez• fait l'honneur de m2adresser еп date de
4 de •се moig е$'јв пе' saurais vons dire• •combien les
biiarres• •pibces ' qui у 6taient jointes m'ont diverti.
Уоив• пе les •destini6z qoe pour moi, mais је n'ai ри
r6sister ви ddsir de lBS• montrer miBistre, et поив
еп asions• Ьеапсопр• ensernble; 0ete iledare а servi
de repob ои bien, si'je voulais рани, les Pr6•
dibtises Ridicules, tenbromets b'ux leotores plns gra-
veS de vos ofioes artiv6s еп тёте temps. • Аи resbe,
vous avez bien raison de dire, et m-r Lanskoy еп est
aussi convenu, que dans tout се qui se passe еп Bessa-
0bie, il у а beaucoup moins de la faute des individus
qu»on пе serait d'abord tent6 de le croire: се •sont les
belle? habitudes, les nobles us de се сдет pays.
Оп а еи certes grandement tort de vouloir les lui
laisser сотте lo(x fondementales, et Топ пе saurait par
cons6quent travailler trop t0t les changer. C'est
vous, monsieur le cOmte. votre zble 6clair6, votre
admirable activit6 que la Providence parait avoir
commis се soin, et nous pouvons, је crois, sans trop
nous flatter, vous pr6sager les plus beaux r6sultats.
Continueg seulement, сотте vous avez соттепсб.
votre pr6senoe а, pour ainsi dire, rendu la vie
ип corps тон; gu6rir, cicatriser, efacer enfin les