КЬ ДИЕИНПКУ хелиовацк.ы•о.

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de femmes qui etoient pr6sent ппе fC•te• que l'emp. leur donnoit... ministre d'An-

gletere d'alors, keith, cette occasion s'approcha de la. comtesse Втисе et lui dit: Sa-

vez-vous bien que votre empereur est.fou lier et, qu'i n10ins de l'@tre, оп пе peut

pas faire се qu'il fait. L'imp6rq&ice Catherine II еп montant sur le t.rOne sauva Рет-

pire, elle-meme et son fls des mains d'an fou presque furieux, et qui le serait devenn

indubitablement, s'il avoit versd ри vu verser ипе seule goutte de sang; e.'est се dont

dans се tems-li personne пе doutoit de tous сеих qui l'ont соппи, pas тёте ses

plus afid6s.

Раде 223. П obligea l'hnpevtrice son Epouse d6corer de l'ordre de S-te Catbe-

rine la comtesse de Woronzow, qu'il dbclaroit par•lh sa favorite еп titre. L'imp6ratrice

пе put qu'en etre bless6e аи vif.

Jamais il пе pensa obliger l'imp6ratrice revetir la comtese Woronzow de l'or-

dre de S-te Catherine, il prft cette peine lui-meme. П vouloit l'6pouser, et lc тёте

soir qu'il la Nvetit de l'ordre de S-te Cath. il avoit аи рт. Baretensky, son

adjudant (depuis min..en France), d'aller arrQter l'i*ratrice dans son appartement,

Baretensky, efrayb de cet ordre et пе se Mtant pas de l'ex6cuter, rencontra le pr. Ge-

orge de Holstein, oncle de Pimp. dans l'antichambre, il lui dit l'ordre qu'il avoit, celui-

ci courut Pempereur et lui dit de r6voquer cet ordre, il se jetta ses депоих et eut

beaucoup de peine faire r6voquer cet ordre.

Pages 223—224. Efe6tivement elle ft dbclarer d'abord que ses n'abandon-

neroient point la Prusse; et elle ft тёте arreter le baron de Goltz, envoyb du roi

que le czar avoit fort djstingu6.

Le baron de Goltz пе fut point ап•м.ё, il se trouvoit рж de Pierre Ш Ота-

nienbaum, il demanda et obtint ипе escorte роит revenir P6tersbourg.

Раде. 224. П se trouva dans les papiers de l'empereur d6funt plasieurs lettres que

le roi de Prusse lui avoit dcrit.es аи sujet de ses m€contentemens domestiques, et snr le

.dessein qn'il avoit de faire renfermer Catherine dans пп топа±е, сотте Pierre у

avoit renferrn6 Eudoxie, sa premiere femme. Fr6d6ric lui conseilla de пе point faire de

ces coups d'6clat, de tacher de s'arranger de la meilleure facon qu'il pourroit, et d'a-

voir роит son bpouse tous les bgards, qui pouvoient se concilier avec sa propre

П у еп a,voit ппе, dans laquelle le roi conseiUoit Pierre 1П (qni vouloit faire

la диете аи Danemark роит lui reprendre le Sleswig) de prendre avec lui les тбсоп-

tens et сеих dont il se.d6feroit, et de les k0nigsberg.

1bid. Catherine II, convaincue des bonnes dispositions de Frbd6ric, пе voulut роит-

tant pas agir contre l'Autriche.

Les bonnes dispositions de Fr6bric II pour Pim6pratrice n'dtoient pas fort ауё-

res, сотте оп le voit par la remarque pr6c6dante.

Раде. 283. Fr6d6ric composa pendant la guerre plusieurs pi&es еп vers, qui tien-

nent de .et qui etoient efectivement des чие les malheurs particu-

liers et les publics lui dictoiert.

Le рт. Henri prbtendoit, que le ioi son fr&re еп tenoit toujours de pretes, et

qu'il les tiroit de son porte-feuillt dans devoccasions scabreuses, afn qu'on s•6tonna de

се qu'il avoit l'esprit asz libre encore pour composer des d'amusement.

Pages. 254—255. Ch. XXV. Le roi craint de voir manquer за suawssion...

La mort (Тип neveu jeta Fr6d6ric П dans quelques inqui6tudes. De quatre fls,

qui surv6curent аи roi Fr6d6ric-Guillaume et qui s'6toient tous maribs, toute l'e*-

rance d'une postbritb masculine 6toit r6dujte ипе seule И. Le roi n'avoit point d'en-

fans, et il avoit тепопсё l'espbrance d'en avoir. Le prince Henri, mari6 depuis plus

de vingt ans, п'еп avoit pas поп plus. Le prince Ferdinand, apNs dix ans de mariage,

laissoit encore douter s'il auroit des h6ritjers augustes. Prince de Prusse, mort l'an 1758,

avoit laiss6 deux fls. Fr6d6ric-Guillaume Уатпё, aujourd'hni r6gnant, n'avoit encore

qu'une flle.

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