— 210 —
ххм.
Се 7 Jain (Troit:k06).
6t6 avec та cousine, lorsqu'elle partit d'ici, jusqu'h
та maison de Серпуховъ, et j'ai 6t6 bien 6tonn6e de voir
ип jour courir tout le monde dans les rues еп habits de
f6tes et les cloches sonnantes; је п'еп savais pas la raison,
quand аи tournant d'une rueje rencontrai le m6tropol. Platon
еп дрожки. Son 6quipage ni le mien пе pouvoit сотто-
dement passer outre; nous les quittames spontanieusement,
et nous voilh nous parler intimemeni dans la гие еп fran-
eois. Је mis Еп cette position g6nante, et quand j'appris
par les grands de la ville qui vinrent chez moi, qu'il avoit
fni ses courses et 6toit rentr6 dans le couvent, је quittai
та cousine et се grand cercle rassemb16 dans та maison
et j'allai chez l'6v6que, qui, moins franc, moins simple чие
votre our, те parut embarass6 du choix, si c'6toit сотте
Platon le grec ои сотте Platon l'6v6que, qu'il devoit те
parler ее m'administrer consolation et conseils. Је lui indi-
quai adroitement la route mitoyenne qui tient la philoso-
phie et la religion et qui surtout se fonde sur la bous-
sole de l'6quit6 et d'une conscience риге, r6sultant de се
que le moi а 6t6 toujours sacriR6 pour mes deyoirs ее pour
се que j'aime. Nous ayons bt6 t6te-h-t6te plus de 4•heures.
Је suis revenu chez moi minuit, ой ип bon souper т'
attendoit. C'est ипе heure pass6e que j'ai laiss6 та сои-
sine dans та maison у prendre du repos, et је suis arriv6e
Troitk06 qu'il faisoit d6jh jour. Cette course т'а fatigu6 et
d6rang6 ип point que је пе те sens point remise encore.
J'espbre que cette leure vous trouvera еп parfaite sant6,
топ cher ami, et que је reqoive bient0t ипе lettre de vous
qui m'apprenne qne vos inqui6Ludes sont diminu6es, sinon
dissip6es entibrement.
Tous les habitants des campagnes et сеих des villes qui
пе sont pas riches sont dans ипе terreur de la mauvaise
r6colte des bleds que nous aurons cette аппбе, et de la