ГРАП Д'АРТУА.
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Turcg et les Russes, n'est-ce рав les secondB qae vous
craindrez le plus? Ва cour de Berlin а agi dans toate oette
afaire avw autant de perfdie que d'habilet6. Cette dernibre
partie п'а рав bri116 de notre cOt6.
149.
Londres, le З (14) .Juin 1793.
Је suiB charm6 de tout се чие уоав те dites sur le oompte
de notre petit neveu Boutourline, que j'appellerai Ftit qnand
il anra тёте ans: саг stature, moins qu'il n'ait grandi,
n'est рав celle des Patagons.—Depuis та dernibre j'ai falt
ип voyage Hull; il n'6tait pas fort agr6able, саг је devaiB
annoncer аи comte d'Artois que l'Anglebrre пе poovait rien
faire pour lui. C'6iait ипе terrible chute pour ив prince qui
а 6'6 si exalt6 chez попз. J'eus ип entretien de deux heures
Ete-A-t6te avec lui, et је lui ai expos6 1'6tat des choses et
l'impossibilit6 absolue du gouvernement de pays-ci de
concourir аих vues bienfaisantes que l'Imp6ratrice avait ропг
loi. Il а wnti leg raisons et а pris fort bien son рати. J'ai
еп lieu d'6tre content de lui et је crois que B'il puvait 6tN
bien entour6, il se corMrait toujours bien; mais il а autour de
lui deg 6cerve16s remplis de vanit6, 'd'6tourderie et d'intr$ues.
Il avait aussi auprbs de lui ип certain 6v6que d'Arras, d0Bt
оп diseit autrefoiB merveilles, mais qui, аи moment de quitter
la Russie, eut ип соир d'apoplexie, dont п tete se ressent
pr6sent, саг il radote d'une manibre insoutenable.
Avant de faire cette course, j'avais envoy6 пп coarrier pour
informer la cour dans Иев plus grands d6tailB de
1ев raisons qui пе permettent рад l'Angleterre de m61er
des daiNs des prirwes franqais, de тёте que de douar
le Russie mille livres sterling, qu'elle demandait 0Hel-
lement et qui par впе lettre particulibre de l'Imp6mtrioe
moi pouvaient 0tre r6duibs й 3W тШе. Tont 6tait impoe•