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nes qui s'bgarent et cent mille autres exc,uses seront
donnCes сотте cause urrivds trop tard. Оп пе
viendra que pour vous sauver apr&s que vous serez
bien battu рат la sul)briorite des forces ennemies, et
оп aura encore l'air (l'avoir rendu ип grand service еп
d'une petite аттеке сот-
sanvant ип petit reste
l)16tement battue. par la trahison des prbtendus sauveurs.
Је prie Dieu que vous n'alliez vous f6urrer еп Hollande,
pays entrecoupb de сапаих, ой les afTaires пе peuvent
&tre (16cidCes que рат l'artillerie et la tiraillerie des
mousquets et ой il est impossible, si l'ennemi veut
l'6viter, de l'aborder l'arme blanche, qui est notre
vraie arme. C'est avec la bayonette que les Russes
(loivent toujours combattre et c'est alors qu'ils triom-
phent.—Cest роит n'avoir pas attendu Braunau l'ar-
riveke de koutouzofT чие МасК s'est avancb si loin dans
l'espoir (le faire parler de lui par les vietoires qu'il se
promettait, qu'il а e3tei pris еп front. еп flancs et аи
dos et que, la lui ayant tourn6, il s'est dbshonor(k
et а perdu ипе arrnde de 85 mille ho;nmes.
C'est le cornte Munster qui vous donnera cette let-
tre. Cest ип honune de m6rite et qui jouit de la соп-
fiance la plus illimitbe du roi.
Је suis trbs-content d'Oubril: c'est ип јеипе honune
de m6rite et qui pense ь•њ-Ыеп.
Vou; те dites que vous rn'envoyez ипе lettre du
pr. Dolgoroukoy, mais је crois que vous l'avez oubli6e
sur votre table. Је. п'еп suis pas fAchb, сат је пе те
soucie pas de correspondre avec cet homme, qui n'est
qu'un prdsomptueux faiseur, ип intrigant qui veut se
fourrer partout. Il а beaucoup fait de scbnes Berlin.
Quand vous m'bcrivez рат la poste, n'6crivez que
les faits et par courrier tout се qui пе doit pas @tre