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contradictoires sur la bataille аи 2 X-bre dernier п. s.

Nous avions regu ипе (lbpe*che trbs-courte аи

chevalier Paget du З X-bre, datbe d'Olmutz, avec la

nouvelle de la perte de cette bataille, qui nous consterna:

mais еп тёте temps des lettres de Berlin et de Нат-

bourg disaient que le З et le 4 оп avait тесопппепсб

se battre et que les allibs avaient remportb lti vic-

toire. Ces lettres n'btaient pas fort authentiques, mais

сотте оп aime croire tout се qu'on dbsire, је l'ai

cru еп partie. Malheureusement 10 jours se sont ekcoulds

sans avoir des nouvelles du continent, et nous flottions

entre la crainte et l'espbrance, quand 6tant Bath

m-r Pitt те montra le Moniteur du 17 X-bre, qui

venait (l'Nre теки de la сте de France et qui conte-

nait le maudit armistice ои plutdt la dbgradation сот-

plbte de Frangois 2-d, qui se (lbsarme et se livre tout-

h-fait la discrbtion d'un Corse. Quand је vis les ат-

ticles de cet arnlistice inconcevable, је le crus tout-h-

fait faux et compos6 роит amuser les badauds de Ра-

ris, mais nous еп etimes la certitude deux jours aprbs

рат l'arrivbe des malles. La seule consolation qui m'est

rest6e est que notre Ernpereur, qui а combattu еп hb-

ros la bataille du 2, qui fut si malheureuse,

п'еп

fut pas (lbcouragb et que bien loin d'avoir participb

l'armistice, il а еи la fermetb (l'dme de le rejeter, quant

се qui le regarde et que s'il а fait retirer ses trou-

pes, c'e»t parce qu'btant lii роит aider son allib, il

n'avait plus de, raison rester dans son pays, quand

cet allib s'est епдадё n'avoir plus aucunes troupes

btrangbres dans ses 6tats. Еп тёте tems се gbnbreux

Empereur n'abandonne pas ses principes; il а fait voil'

qu'il est ип bien digne. (lescendant, de Pierre-le-Grand.