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quoi il tomba l'improviste sur l'armbe Prussienne.
qui пе, pouvait recevoir
(le secours tems de. chez
nous et qui тёте. n'6tait pas jointe аих Saxons et
Hessois. Г)'ип autre cdt6, се nlisbrab1e roi de Prusse.
toujours gouvernb рас ses secrbtaires, пе consultait que
leurs cr6atures Ijucchesini et ITaugwitz, et аи lieu de
donner le c,ommandement
et la direction gbn6rale de
l'arm6e Miillendorf, l'a donnbe аи (luc de Brunswic:
aussi tout fllt perdu da.ns ипе, .iourne;e. Sil reste ип
реи de sens соттип се roi de Prusse, il doit sen-
tir que s'il avait, d'apl+s son propre et vrai int6rQt,
passbe, joint tout (le suite la Russie et l'Au-
triche, (l'aprb.s (1 ut)i il entra.inait la Saxe et Ia IIesse,
cela aurait al)ime3 Bonaparte et aurait rdtabli toute
l'Europe dans son ind6pendance primitive. S'il а се sens
pr6sent et s•il voit les pertides conseils
шттип
(les =subalternes qui l'ont атепб sa rnine, il (loit les
faire pendre, refiser toute paix et se joindre h nous
роит (l6fendre la Prusse, la Si16sie et ses provinces
polonaises. Mais s'il fait la paix, il perdra tout et sera
le vassal du Corse avec le реи de ten•itoire que celui-
ci lui laissera.
82.
l.ondres, Ие 6 (18) IX-bre 1.“.
.Је vous 6cris cette lettre, топ c,her Michel, рат le
comte Strogonof qui ран се soir, sans savoir ой e11e
pourra vous atteindre: est-ce dans les 6tats du roi (le
Prusse, ои est-ce dbjh votre retour de cette course.
Nous пе savons rien des suites de la bataille du 2
(14) VlII-bre, ignorant compl(tement ой se trou ме le