312.
Recue le 14 Nov.
Londres, le 12 (24) 0ctobre 188
J'ai еи le plaisir de recevoir се matin votre lettre
du 13 Septembre dat6e du сатр devant Varna et de
savoir еп тёте tems que vous vous portez bien. Роит
се qui est de la manibre dont оп fait les plans des
opCratl“ons de guerre, ils пе sont pas dans le genre de
сеих de C6sar, de Gustave.Adolphe, du Grand Fr6d6-
ric, de Laudon et de l'immortel Souvorow, qui sera
trouv6 par la post6rit6 (toujours plus juste que les соп-
temporains) le plus grand g6n6ral de notre sibcle et
des sibcles pass6s. Notre manibre actuelle est e.dle des
Lassy et des МасК, et avec 400 mille hommes qu'on
рауе, qu'on nourrit et qu'on habille, a-t-on ипе guerre?
Оп n'employe pas le quart, et оп fait ипе guerre
ble, prolong6e et sans gloire, avec des d6penses • 6nor-
mes et la perte de la consid6ration universelle que nos
arm6es ont acquise depuis le rbgne de Pierre-Ie-Grand.
Оп dirait, еп voyant le plan de сатрадпе de cette ап-
псе et сотте elle а fni, que c'est le prince Metter-
nich qui еп а fait le plan.
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Richmond, le 15 F6vrier 188.
Је. vous assure que је те porte parfaitement bien;
car је n'ai аисипе douleur dans аисипе partie de топ
corps, et la seule marque de та vieillesse que j'aie
pr6sent, est ипе lassitude сотте si j'avais beaucoup
trav$l16 du corps; mais сотте j'ai реи de mouvement