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recueillis, ni t016r6s nulle part еп Allemaone. Гай donc

suppli6 Sa Majest6 de lui conserver la permission de

porter runiforme d•une Souveraine auguste qui il doit

tout. Еп dernier lieu је l'a.i aussi suppli6e. si elle met

des troupes еп mouvement роит la cause frangaise, de

lui permettre d'y servir parmi les enfants de la victoire

la cause de sa patrie. Је пе puis pas encore avoir тб-

ponse cette dernibre supplique; mais је. n•ai ри т'ор-

poser аи d6sir de т-т de Bueil d'aller avec son beau-

frbre, mand6 рат m-r le comte d'Artois, аи devant de

l'occasion qui s'ofrira sans doute. роит signaler son

zble et роит m6riter, autant qu'il d6pend de lui, раг

ses faibles moyens, la protection de son auguste bien-

faitrice. Toutes ces circonstances sont connues de m-r

le comte d'Artois, qui son passage par Gotha роит

se rendre P6tersbourg, а marqu6 ипе extrehne bont,t;

m-r et madame de Bueil. C'est donc аих bont6s рат-

de votre excellence que j'ose prendre la libertb

de recommander le comte de Bueil et le chevalier de

Belsunce.

Tout Gotha, mais surtout le prince Auguste et т-т

et madame de Frankenberg те chargent de mille cho-

ses pour vous, m-r le comte. et se rappellent avec la

plus vive satisfaction les momens qu'ils ont еи le, bon-

heur de passer avec vous. Si vous avez jamais des

ordres те donner, vous (Hes stir de те trouver tou-

jours, еп те les adressant souy l'enveloppe de mes-

sieurs Heyder et compagnie Francfort sur-le-Mayn,

ои bien sous celle de m-r le comte Nicolas de Rouman-

zofT. Agr6ez, је vous supplie, l'hommage de rattache-

ment plein de respect avec lequel је serai toute та

vie, etc.

Grimm.