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Кь нему ме.
P6tersbourg, се 11 octobre 1799.
Је vais reprendre vos lettres dans leur suite, et је
suis efray6 du tas qu'elles forment.
Celle du З juillet 6tait ассотрадпбе de la trag6die
de kotzebue, auteur que је connais depuis longtems,
сотте је connais aussi le public de Londres. Ni l'uri
ni l'autre пе т'еп imposent. Mais, trbs-positivement,
се qu'il у а de mieux dans cette pibce, c'est се que
m-r Sheridan у а mis du sien. Si ј'еп ai encore le
tems aujourd'huy, је joindrai celle-cy quelques mots
роит le g6n6ral Mylius, supposant qu'il est encore
chez vous. Аи reste, соттеје пе parle jamais d'afai-
res ni lui ni аисип 6tranger, toute notre corres-
pondance se r6duit nous dire que пои; sommes
toujours les m@mes l'un pour l'autre. Је те suis bien
aper€u qu'il aurait voulu rendre notre commerce ип
реи plus int6ressant; mais j'ai fait la sourde oreille,
пе те m@lant jamais de се dont il пе m'est pas or-
donn6 de те m@ler.
23 juillet. Vous пе те r6pondez encore que pr6a-
lablement l'ofre que је vous ai faite de recevoir le
јеипе comte chez тоу quand il viendra P6tersbourg.
26 juillet. А celle-cy 6taient joints les livres тат-
qu6s sur ипе carte, et dont је vous dois encore les
plus grands remercfments. Се m-r Park Пе donne pas
envie de voyager dans l'int6rieur de l'Afrique. Је suis
encore lire les autres, et celuy de Smith surtout
m'est pr6cieu*. Vous 6tes trop bon, топ cher seigneur,
de m'of•ir ипе bibliothbque entibre. Се serait abuser