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Londres, се 7 octobre 1805.

•Il est venu ип courrier de m-r Jackson et ип autre de

Vienrie. M-r Jackson mande du 25 que la cour de Ber-

lin avait fait ипе r6ponse la d6claration pr6sent6e

par m-r d'Alop6us, portant qu'il 6tait contre la dignit6

de cette соит de permettre le passage d'aucunes troupes

6trangbres par son territoire, et qu'elle regarderait

сотте ennemie la puissance qui tenterait ипе pareille

entreprise. Le roi n'attendait que le retour du courrier

qui avait 6t6 expbdi6 avec des lettres l'Empereur, pour

se mettre еп chemin. Еп attendant, m-r Jackson espbre

encore du bien de- се quartier-lh, pourvu qu'on aille

doucement. Le c-te de Meerfeldt et m-r d'Alop6us

doivgnt 6tre de la m@me-opinion, et c'est selon leur

соттип accord que m-r Jackson п'а pas encore fait

usage des ordres qu'il avait reg,us d'ici relativement

аих menaces: le c-te Meerfeldt lui avait d6clar6 тёте

qu'il пе se joindrait pas lui. D'aprbs des voies par-

liculibres оп sait ici que l'arm6e prussienne doit etre

dans ип trbs-mauvais 6tat.

Le courrier arriv6 de Vienne аи c-te de Stahrem-

berg а apport6 la lettre oficielle ci-jointe du c-te de

Razoumovsky. Les nouvelles qui viennent de lh sont

parfaites, се que dit m-r Hammond. Ils font des

eforts 6tonnants, et leur 6crits sont r6dig6s dans ип

style parfait. M-r Hammond т'а charg6 particulibre-

ment de vous dire que vous apprendrez avec satisfa-

ction la conduite qu'on а tenue Vienne vis-h-vis de

l'ambassadeur de France, parce qu'elle r6pond parfai-

tement се que vous lui avez dit qu'on devrait faire.