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Londres, се 15 octobre 1805.
Је vous avoue que j'ai 6t6 la premibre cause de
l'oflce de lord MuIgrave, quoique pas, il est vrai, de
.tout son contenu: car, quand j'ai vu lord Mulgrave et
que j'ai d6sir6 apprendre de lui се qu'en6n ils avaient
d6cid6 sur ип point qu'on 6tait trbs-impatient de savoir
chez nous, celui de la part qu'ils prendraient аих орб-
rations militaires, point sur lequel ils n'avaient pas
encore r6pondu nos dernibres communications,—j'ai
vu que lord Mulgrave пе pouvait encore те donner
de r6ponse pr6cise. Еп тёте tems је l'ai pri6, сотте
le courrier du bar. Stroganov devait partir, et j'ai pri6
aussi m-r Ward, pour etre sor de топ fait, qu'ils те
donnent ипе r6ponse par 6crit sur les points еп question.
Ils те le promirent alors, et c'est се qui а occ,asiOnn6
cet о{Ћсе. Quoique votre excellence ait арртоимё та
d6marche aupre>s de myl. Mulgrave, si les cons6quen-
ces qui еп ont r6sult(3 пе sont pas bonnes, је dois
prendre toute la faute sur moi, et si j•ai manqu6, топ-
sieur le comte, је те tlatte que vous п'у trouverez
que trop de zble de та part.
J'ai appris се mat,in du c-to Munster, par les (lernib-
res qu'il а recues (le Berlin, qu•on se ralentit
chez nous ип реи vis-h-vis de la, Prusse; que malgr6
que m-r d'Alop6us soit bien convaincu que si nous
voulions forcer le passage оп s'y opposerait vivemen,t
il croit cependant qu'aprbs tout оп пе s'opposerait
peuutre, pas аи passage des troupes russes par le.
Mecklembourg; et quand il а demand6 ing6mAment