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S'ilisie! Bonaparte pourra peut-&tre gagner quelques

avantages momentan6s sur les Autrichiens avant дие

les Russes soyent venus leur sec.ours, mais c'est

bien ип соир de d6sespoir qu'il vient de fuire lh. et il

faut esp6rer que sa course ira еп d6gringolant. Оп

vient de nfapporter le paquet ci-joint de m-rde kliip-

fel, qui est venu рат la malle de Hambourg.

49.

I,ondres, се 19 octobre 1805.

А peine j'avais cachet6 le paquet que j'ai еи l'hon-

neur de vous adresser hier, que је reeus ипе invita-

tion de lord Mulgrave de те rendre son Bureau.

Arriv6 pour ипе seconde fois, j'appris qu'il venait

d'@tre r6solu d'envoyer ип courrier Stralsund, et

myl. Mulgrave m'autorisa et т'епдадеа 6crire аи

c-te de Tolstoy роит lui exprimer que depuis que le

Ь. Hardenberg avait formellement аппопсё m-r d'Alo-

p6us que la Prusse permettait le passage des troupes

russes рат la Sil6sie et qu'elle пе s•opposerait plus

celui par le Mecklembourg, le gouvernement brit-que

d6sirait vivement que le (comte) Tolstoy •avaneat аи

plus tOt avec les troupes роит coop6rer dans le На-

novre avec les forces anglaises qui vont s'y rendre

incessamment. L-d М. ainsi que l-d Castl. m'ont еп

тёте tems indiqu6 pour l'information du c-te Tolstoy

les nombres des dif6rentes forces qui vont se suivre

d'ici, et j'ai fait de tout cela ипе d6p@che d6taill6e аи

c-te de Tolstoy, еп lui annongant еп тёте tems l'ar-

riv6e de la sienne, que j'avais 6t6 autoris6 ouvrir

dans l'absence de votre excellence, et еп cons6quence