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23.

Кь неиу ме.

P6tersbourg, се 17 sept. 1797.

Је viens d'attraper encore ип petit. bout “du s6jour

de m-r Frazer, donf, j'ai 6t.6 bien content de faire la

connaissance. П те parait dtre satisfait de notre pays

et intentionn6 d у revenir.

Је rougis еп voyant devers moi la quantit6 de vos

lettres auxquelles је n'ai pas encore r6pondu. Је vais

les parcourir successivement et у r6pondre le plus suc-

cinctement possible, car m-r Frazer viendra chercher

та lettre 10 heures, et il est 9 heures аи moment

que је puis empoigner la plume.

La premibre de vos lettres est du 10 juillet et соп-

cerne principalement la princesse de Tarente. Elle est

arriv6e icy pendant топ absence, а 6t6 reyue Рб-

terhof avec la plus grande distinction. Vous sgavez

sans doute qu'elle а 6t6 d6cor6e tout de suite et du

portrait et du petit ordre de S-te Catherine. Prenez

pr6sent d'un c6t6 ]'assurance que luy ont donn6e tou-

tes ces faveurs роит se croire еп droit d'6tre suc le

pied ой elle а 6t6 avec la reine de France, l'omission

involontaire de plusieurs devoirs d'6tiquette, сотте de

baiser les mains, de remercier part роит chaque

grdce etc., et entin l'interprbtation maligne qu'on n'aura

Fas manqu6 de donner аих moindres actions d'une

(5trangbre si favoris6e, et vous vous expliquerez ais6-

ment le froid qui а succ6d6 tout d'un соир la plus

vive faveur. Оп luy а 6х6 ип sort ип реи mince, de

30 r. рат ап. Elle пе pourra gubres rouler carrosse

6 chevaux avec cela. Mais сотте elle se conduit fort