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comparables; et c'est vrai la lettre qu'elle craint de
те d6ranger trop, tandis qu'h peine j'ai de quoi т'ос-
cuper еп ex6cutant се dont elle те charge. Сотте је
logerai cet 6t6 la сатрадпе de la comtesse Strogo-
now, prbs de kamennoy-Ostrov, j'espbre qd'elle aura
la bont6 de m'employer ип реи plus, sans quoi је роит-
rais bien devenir ип heureux fain6ant. S. М. est d6jiL
kam•ennoy-Ostrov depuis hier; elle т'а demand6 се
matin, si је comptais у passer bientdt; j'ai cru d6m6-
ler, que c'6tait cause de la peur qu'elle а, que је
пе sois fatigu6 des courses que j'aurais faire d'ici,
pour те rendre auprbs d'elle.
П parait certain cependant que nous aurons роит
f•ontibre le Pruth. Оп parle encore de l'aillance of. et
d6f. avec la Porte et de l'ind6pendance de la Servie.
Le dernier est sans doute trop beau pour dtre cru;
mais је souhaite que cela soit vrai, — се point seul
vaudrait des empires. Еп tout cas, si тёте nous
n'avions rien obtenu par cette paix, elle doit &tre соп-
sid6r6e сотте notre plus grand bonheur dans се то-
ment.—On s'attend аих hostilit6s d'un moment l'autre;
toute communication entre nous et la Prusse est rom-
рие рат ип ordre de Davoust, imprim6 et publi6, et
toutes les lettres ont 6t6 saisies et d6truites. Еп voil&
bien ипе hostilit6 de commise.