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St.-P6tersbourg, le 7 aont 1817.
Је parts demain matin роит 0zarsko-Sblo, је
те propose de fait•e ипе course chez la comtesse Stro-
gonow, queje n'ai pas vue encore depuis son retonr. Је
sais qu'elle est klans ипе afliction continuelle; mais
l'Empereur а еи la bontb d'al16ger ses embarras роит
les afTaires, еп chargeant m-r Novossiltzow de r6diger
ип oukaze sur le testament du d6funt comte et qui doit
confrmer le gros de ses dispositions. Оп dit qu'il у а
des points singuliers, сотте celui par lequel il d6fend
tous ses h6ritiers venir d'engager la moindre partie
de ses biens. Lui-m6me, pas plus loin que l'hyver pas-
s6, а trouv6 еп cela ипе ressource pour se tirer d'af-
faires et emp6cher les s6questrations de ses hypothbques
еп sacri6ant 1.'2W.O т. sans retour роит assurer son
propre repos et celui de sa famille. Quel revirement
peut-on faire роит payer 5 millions de dettes et par З
millions chacune des trois fllles cadettes, се qui топ-
te еп totalit6 14.00? Оп assure (mais cela de-
mande encore confrrmation) que sur ип ancien procbs
le Conseil vient de d6cider еп compensation des biens
pris la famille Strogonow depuis Pierre-le-Grand et
donnbs еп d'autres mains, que l'Empereur fera ип acte
de justice еп prenant les dettes sur lui, puisque les
biens еп question пе pouvaient plus lui 6tre rendus.
Dans се eas il restera toujours pr6parer 9.(Т.ШЈ
роит la dot de trois fllles cadettes, dont l'une est d6j&
nubile et ипе autre le sera dans 4 5 ans. Le