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J'entrai еп ville, avec des acclamations innombra-

bles et .j'alla,is ainsi аи palais 41'6t6, ой m•attendait la

cour, le Synode, топ fils et tout се qui vient la

соит. J'allais la messe, puis оп chanta le Те Deum,

puis оп vint то f6liciter.

Moi, .qui n•avais ni presque bu, ni тапдб, ni dormi

depuis le vendredi six heures du matin jusqu'h (liman-

che aprds diner, le soir је те couchais et је m'endor„

mis. А minuit, peine le fus-;je, que le capitaine Pas-

sik entre dans та chambre et m'6veille, те disant:

„Nos gens sont horriblement ivres; ип houzard dans

le тоте 6tat а pass6 devant еих et leur а cri6: Аих

armes! 30 mille Prussiens arri vent, veulent nous enle-

ver notre тёте. Lbdessus, ils ont pris les armes, et

viennent ici pour suvoir l'6tat de votre sant6, disant

qu'il у а trois heures qu'ils пе vous ont vue et qu'ils

iront tranquillement la maison, pourvu qu'ils voient

que vous 0tes bien. Ils n'bcoutent ni leurs chefs, ni

тёте les 0rlow“.

Ме do nouveau sur pied, et pour пе pas alar-

тет та garde de la cour, qui 6tait d'un bataillon.

j'allai еих et leur dis la raison pourquoi је sortais

ипе pareille heure. Је те mis еп carrosse avec deux

ofliciers et j'allai сих. Је leur dis que је те portais

bien, qu'ils allassent dormir et те donnassent aussi du

repos; que је пе fesais que de те coucher, n'ayant

dormi de trois nuits, que је souhaitais qu'ils 6coutds-

sent l'avenir leurs 0fEciers. Ils те r6pondirent qu'on

leur avait• (lonn6 l'alarmo avec cos maudits Prussiens,

qu'ils voulaiont tous mourir роит moi. Је leur dis: „Нё

bien, је vous remercie; mais allez vous coucher.“ И-

dessus, ils те souhaitbrent le bonsoir et beaucoup de

sant6, et s'en allbrent сотте des адпеаих la maison,