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А Palerme, се 26 septembre 1799.

Је dois vous accuser la r6ception de vos chbres

lettres du 7 jum et du 5 a00t. La premibre de ces

lettres т'а 6t6 rendue par le digne capitaine-lieutenant

D6mianov son arriv6e ici. J'aurais voulu pouvoic lui

t6moigner combien ип homme qui m'est recommand6

рат топ meilleur ami m6rite d'attentions de та part;

mais le реи de tems qu'il а demeur6 ici, 6tant tou—

jours restb bord, т'а priv6 du plaisir de le servir

et т'а fait rester а#ес des regrets sur cet 6gard. Vo—

tre lettre du 5 т'а fait le plus grand plaisir раг

les d6tails que vous те donnez sur votre voyage dans

l'int6rieur de l'Angleterre et аих fabriques ,merveilleu-

ses de m-rs Boulton et Watt. Que vous 6tes heureux,

топ ami, d'avoir ри admirer ces chefs-d'oeuvre de

l'art et du g6nie, et que votre Maftre est ип grand

souverain еп songeant former chez vous des 6ta-

• blissements si utiles, et tout cela dans le moment qu'il

s'occupe tout entier d6livrer l'Europe de l'ex6crable

vermine frangaise, qui sans lui nous aurait mis tous

sous le plus inf&me de tous les jougs. J'ai reeu ensuite

et presque еп тёте tems, avec la plus vive recon-

naissance, la lettre que vous avez еп la bontb de т'б-

crire еп date du 20 a00t рас ип courrier que le mar-

quis de Circello nous avait exp6di6. Tout се que vous

т'у dites sur la malheureuse impression qu'a faite sur

vous le m6moire que m-r de Gallo у avait pr6sent6,

т'а infniment pein6. J'ai trouv6 votre lettre trbs-int6-