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LondreB, се 17 octobre 1801.

Vo&e approbation те soutient et те console. J'ai

6crit ипе longne lettre encore mylord Hawkesbury

l'appuy de та seconde note et pour dissiper tout-&-

fa.it les diflcult6s que j'ai vues dans воп esprit. Је

vous еп envoye la copie. Је lui ai parl6 avec la fran-

chise et la v6rite que је devais. J'ai envoy6 copie et

des deux oTces et de cette lettre m-r Addington,

et ј'еп ai fait autant mylord Cornwallis. Је laisserai

passer quelques jours et је demanderai ипе autre аи-

dience mylord Hawkesbury, pour entendre qnelle

r6solution оп aura prise. Vous verrez dans la copie

de la lettre ci-jointe се lord, que j'ai parl6 bien clai-

rement. Il faut aussi que је sache quoi т'еп tenir

sur ип autre point. Les ministres parlent d'Amiens

сотте du congrbs. Оп а dit аи ministre•de Portugal

que les alli6s peuvent у envoyer des ministres, s'ils veu-

lent. От, si le Portugal doit у envoyer ип p16nipoten-

tiai*e, le roy des DeuxSiciles, qui est exactement

dans le тёте сад qne le Portugal, et qui а les int6-

r6ts de l'Italie et Deux-Siciles soigner, doit у еп

envoyer ип 6galement.

Il п'у а аисип ordre pour d6sarmer. Toute la marine

royale reste dans le тёте pied dans lequel elle 6tait

avant les pr61iminaires. La lettre que lord Hobart а

6crite аих lords-lieutenants des provinces vous• prouve