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licitaions de la cour de Londres се sujet, quelques
pressantes qu'elles soyent. Qu'elle n'allbgue point que
j'ai 6t6 intentionn6e d'envoyer mes troupes encore
plns loin, puisque j'ai propos6 ипе descente sur les
cotes de la Bretagne et de la Normandie. Се plan 6tait
fond6 sur la supposition des intelligpnces qu'on se se-
rait m6nag6es dans ces provinces, d'un parti consid6-
rable qu'on s'y serait form6 •et qui aurait autant faci-
lit6 qu'abr6g6 l'exp6dition. Mais puisqu'il faut. renon-
сет се plan, сотте inex6cutable soit par la nature,
soit рат [е d6faut de bonne disposition de la part
de l'Angleterre, l'envoy de mes troupes partout ailleurs
et de toute autre manibre пе те ратай plus pouvoir
etre d'une utilit6 compenser les inconv6niens qui еп
peuvent r6sulter.
TAchez de vous pr6valoir de tous les raisonnemens
que је viens de vous d6velopper, роит faire d6sister
[е ministbre britannique de son exigence et роит lui
faire sentir que dans tout се que j'ai fait jusqu'h pr6-
sent роит la cause соттипе, j'ai 6t6 parfaitement еп
mesure avec mes engagemens envers mes alli6s et que
surtout j'ai favoris6 1'Angleterre autant que raisonna-
blement elle pouvait l'attendre de moi. Vous verrez qu'b
la Пп du m6moire susmentionn6 је lui fais ипе пои-
velle ofre, dont la v6rit6 elle пе recueillera pas di-
rectement le fruit, mais qui п'еп contribue pas moins
l'avancement de l'int6r6t g6n6ral. Је suis parfaitement
d'accord avec vous que та g6n6rosit6 envers le roi
de Sardaigne seta lnrement gratuite; mais elle п'еп
prouve qu'autant mieux та bonne volont6 et le d6sin-
t6ressement des motifs qui те font agir.
J'approuve toutes les observations pr6alables que
vous m'avez adress6es sur le trait6 d'alliance conc.lure
Агхввъ Кваза ВОРОНЦОВА, вв. 80.
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