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Recu рат пп courrier anglais, le 7 juillet п. в. 1795, Londres.

Monsieut• le comte de Woronzow! Ayant tach6 par

dillirens moyens de pr6venir la d6fection du roi de

l)russe et d'empdcher la paix qu'il vient de conclure

avec les r6gicides, ј'у ai employ6 entre autres l'inter-

vention du duc de Brunswick, qui s'y est prdt6

de !а meilleure grace du monde. Је connaissais ses

dispositions et ses sentimens рат rapport la guerre

aetuelle et ses motifs, et il les а d6velopp6s cette

occasion d'une manibre tout fait satisfaisante. Mais

il а encore succomb6 sous la politique insidieuse et

dbloyalc du cabinet de Potsdam, qui avait su paralyser

ses grands talens militaires, pendant le commandement

qu'il avait еп dernier •lieu des arm6es prussiennes, et

l'avait forc6 enfm s'en d6mettre. Cette .circons-

(апсе а аи m6contentement et аих

qu'il 6prouve depuis longtems, et peut-atre, роит quitter

absolument le service de la Prusse, пе faut-il que lui

еп ofrir ип autre, ой il puisse trouver la fois et

rappui dont il а besoin сотте souverain, et ипе осса-

sion de r6parer, сотте g6n6ral, les atteintes qu'a

essuy6es sa r6putation dans cette dernibre qualit6? П

а чие l'Angleterre qui, dans les circonstances pr6-

sentes, puisse lui procurer се double avantage, еп l'at-