— 565

је pense souvent avec plaisir elle, et аих momens

que j'ai pass6s dans sa soci6t6. Veuillez, Hionsieur le

comte, lui dire mille choses de та part, ainsi

m-lle Jardine. Le prince h6r6ditaire, sans avoir l'hon-

neur de vous connaftre, т'а charg6 de bien des сот-

plimens роит vous, monsieur le comte, et quant moi,

il пе те reste vous assurer de la continuit6 des

sentimens distingu6s que је vous ai vou6s et avec les-

quels је serai toujours, monsieur le comte,

votre trbs-d6vou6e

Marie.

Weimar, 13 (25) novembre 1805.

Monsieur le comte! Si j'ai tant tard6 vous remer-

cier роит l'aimable lettre que vous avez еи la bont6

de remettre pour moi m-r de Leutlie, је vous prie

infniment de пе pas т'еп vouloir. Mes couches опь

6t6 si rapproch6es du moment ой је l'ai regue qu'il

п'а pas 6t6 еп топ pouvoir de vous r6pondre plus tdt.

Vous saurez aussi sarement (16», monsieur le comte,

que j'ai еи le bonheur de revoir l'Empereur, топ frbre,

ici Weimar: 6vbnement que је regarde сотте ипе

des plus grandes faveurs que •le Ciel aitjamais ри т•ас-

corder, auquel jamais је n'aurais ри m'attendre, et qui

а combl6 tous mes voeux, pnisque је те suis vue тби-

nie топ frbre, auquel је suis si fortement attach6e!

Vous concevrez та joie et топ bonheur, monsieur le

comte, et vous les partagerez тёте, ј'еп suis s0re, vu