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7.
(Janvier 1805).
Еп prenant la libert6 d'envoyer У. М. I. quelques
livres sur la musique galloise et sur celle de plusieurs
autres nations. qu'on а publi6s ici, је пе puis lais-
ser 6chapper cette occasion de renouveler l'ap-
proche de la nouvelle аппбе les voeux ardens que је
fais роит la sant6 et le bonheur de Votre М. 1. Рет-
mettez-moi еп тёте tems de vous pr6senter, madame,
mes dol6ances et de те plaindre У. М. 1. contre У.
М. elle-m@me. Еп partant de Russie, је pris la libert6
de la supplier de m'honorer de ses ordres, toutes les
fois qu'elle voudrait avoir quelque chose de се pays.
Elle пе т'еп а donnb аисип depuis 2 ans que је suis
ici, et је sais qu'elle а souvent donn6 des commissions
d'autres qu'h. moi, pour quelques articles qu'elle d6-
sirait avoir de Londres. Peut-elle croire qu'il у eot
quelqu'un de plus zbl6 que moi ex6cuter ses ordres?
Је la supplie donc de пе plus те priver du bonheur
de faire ses commissions dans се pays: је les ferai avec
le zble d'un homme qui n'est jamais aussi heureux que
quand il peut• faire quelque chose qui soit agr6able
У. М. 1. Si parmi ces commissions il s'en trouve de
telles qu'un homme пе saurait jamais bien faire,—outre
та fille, il у а parmi les dames de се pays plusieures
qui sont de mes amies, que је consulterai et qui se
chargeront avec plaisir de те procurer се que У. М.
1. d6sirerait d'avoir.
Ма flle se met аих pieds de У. М. I. Је la supplie
је nous continuer sa bont6 et sa protection et је suis
ivec la respect le plus pcofond etc.