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il est bon fls, bon mari, bon frbre et bon mattre.

ll aidera donc sa pauvre тёте роит la bAtisse de la

petite maison br0l6e.

Si Dieu m'accorde de vivre l'ann6e prochaine,

j'espbre revoir encore cette maison et у recevoir еп-

core cette hospitalit6 bienfaisante que j'ai 6prouv6e

l'ann6e pass6e.

4.

Le 2 (14) 8-bre 1803.

D6vou6 сотте је suis У. М. 1. et p6n6tr6 de la

plus profonde reconnaissance роит la bont6 et la соп-

Напее dont elle п'а cess6 de m'honorer, је suis рбпё-

tr6 de douleur de l'6vbnement malheureux par lequel

la Providence а encore 6prouv6 la force d'&me et la

r6signation religieuse de У. М. 1. Се соир est terrible,

mais votre pi6t6 те rassure; vous vous soumettrez

sans doute la volont6 de Dieu, et vous vous sou-

viendrez que si vous avez perdn ипе flle chbrie, vous

avez encore d'autres enfans, auxquels votre existence

est absolument n6cessaire; que cette existence n'est

pas moins n6cessaire tant de millions d'hommes qui

v•us regardent сотте leur mbre. Се n'est раз pour

vous consoler, madame (car qu'est-ce qui peut conso-

ler ипе tendre тёте сотте vous etes et dans ип cas

pareil), mais c'est роит faire voir V. М. 1. les sen-

timents de сеих qni ont соппи s. а. i. madame la

grande-duchesse H6lbne, sur l'6vbnement malheureux

qui les а priv6s de cette aimable princesse, que ј'еп-