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Vous pensez bien, топ eher comte, que је point

laiss6 ignorer s. а. i. les sentiments que vous те

t6moignez • et les voeux que vous formez роит elle.

Connaissant sa fagon de penser votre 6gard, је suis

trop s0r du plaisir que. cela lui fera, роит пе m'6tre

pas empress6 de lui еп faire part,

Vous те demandez des nouvelles de m-r 0epinus,

et је suis bien fdch6, топ cher comte, d'dtre 0blig6

de vous dire qne је п'еп ai аисипе, quoique j'aie соп-

tinu6 de vivre avee lui dans la plus grande intimit6

jusqu'au moment de топ d6part de P6tersbourg. Il est

vrai que, depuis notre s6paration, connaissant son aver-

sion роит les 6critures, dont је пе suis pas поп plus

grand partisan, је пе lui ai point 6crit; mais j'ai de-

mand6 plusieurs fois de ses nouvelles des рет-

sonnes avec lesquelles је suis еп relat,ion et qui le

voyent quelquefois, sans avoir ри еп obtenir. Је puis

cependant vous dire sur son compte qu'il а conserv6

fort реи ои point du tout_ de relation, ni avec la ре-

tite, ni avec la grande cour, се qui avait d6jh lieu

encore de топ temps, ой il пе se montrait plus la

premibre qu'en public et dans les grandes occasions,

et пе se m6lait plus du tout des afaires du Collbge,

qui 6taient autrefois de son ressort. Il s'est, cet

6gard, donn6 lui-m@me son сопдб, et сотте cela lui

а r6ussi, il continue t,oucher ses appointements et

пе se m6ler de rien, ип autre• 6ta.nt поттё sa place

et faisant ses fonctions. Il а 6galement depuis nombre

d'ann6es renonc6 l'Acad6mie, ой il n'allait et роит

laquelle il пе travaillait plus. De топ temps il s'occu-

pait beaucoup d'un nouveau microscope de son inven-

tion, qu'il avait port6 ипе grande perfection et qui

а 6t6 fort accueilli dans l'6tranger. La machine est pro-