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bon et d'Autriche. Que пе. puis-je vous parler, топ-

sieur [е comte, de notre r6veil d'une l6targie qui роиста

devenir funeste? Votre d6part d'ici 6tait de trop таи-

vais augure pour que depuis cette f5cheuse 6poque

j'ai ри m'imaginer que les choses prissent bient0t ип

aspect plus favorable. Quoique'il еп arrive et quelque

part que votre 6(oile puisse yous conduire, је vons

supplie, monsieur, d'@tre persua•d6 чие dans ип coin

d'une isle presque mbconnaissable il у а ип hhmme qni

vous est le serviteur le plus wquis et qui пе perdra

jama.is le respectueux et bendre souvenir d'une amiti6

si f]atteuse. роит et qui se rappellera sans cesse

avec les bloges res plus m6rit6s се Ale eonstant que

vous avez hvariablement manifest6 роит l'union salu-

taire de nos cours et роит 'l'6tablissement de l'unique

systbme solide qui puisse assurer la tranquillit6 g6n6-

rale et l'ind6pendance de l'Europe. C'esL dans ces деп-

timens que је vous ai vou6s роит la vie, que је vous

renouvelle les assurances de cette respectueuse estime

avec laquelle j'ai l'honneur d'@tre, monsieur, votre trbs-

humble et trbs-obbissant serviteur

William Pitt.